Portrait

Hugo
Merck

Je vais découvrir de nouvelles personnes singulières venant d’un peu partout, toutes réunies autour du même désir qui nous brûle le ventre, j’ai hâte !

Campus Montpellier
Année 2015
élève

Portrait d’Hugo Merck, élève de troisième année de la formation d'acteur au Cours Florent à Montpellier vient d’être reçu au concours de la Classe libre à Paris.

J’ai entamé une parcours classique en filière scientifique au lycée St-Exupéry à Lyon, que j’ai arrêté après ma première pour me donner à ma passion, le Cinéma.

J’ai passé un an à penser à pleins de choses, à regarder des films et à prendre des cours de théâtre amateur. Je voulais commencer à vivre pour ces Arts sans devoir attendre. Après cette année d’apprentissage personnel,  j’ai déménagé à Montpellier pour intégrer le Cours Florent.                                                                          

  • Que t’ont appris ces trois années d’études à Montpellier ? Quel souvenir en gardes-tu ?

Je me souviens avoir répondu au début de la première année sur un formulaire qui était donné aux nouveaux élèves à une question : Qu’attendez-vous de cette formation au sein de notre école ? Et j’avais répondu : Le Partage

Maintenant au bout de ces trois années, si je vois ce qu’elles m’ont permis, ce que j’en retire, je pense aux gens rencontrés, à la tranche de vie passée ensemble, aux évolutions qu’on a eu, aux projets qu’on a portés, au groupe qui s’est créé et aux moments de vie réellement forts qu’on a éprouvés, sur le plateau, en répétition, ou ailleurs, à parler de Théâtre et de Cinéma.

  • Comment as-tu vécu la préparation aux concours ?

J’appréhendais un peu cet exercice, pensant qu’il allait être trop scolaire pour moi.

Puis j’ai arrêté de le voir comme un exercice pour le voir comme un autre moyen de s’amuser, de jouer, de travailler. Un moyen où on se remet dans le travail de scènes courtes, assez différentes, avec des Auteurs à ré-explorer et des langues à approfondir, à mâcher de nouveau.

Finalement j’ai compris qu’il fallait travailler comme pour n’importe quel projet : proche de soi et de son rapport aux textes. Qu’on joue une pièce d’une heure et demi ou qu’on présente des scènes de trois minutes devant un jury. Et là j’ai pu m’amuser.

  • Comment appréhendes-tu ton entrée dans la Classe Libre ?

Je suis excité !

L’année prochaine s’annonce riche et dense. Je vais découvrir de nouvelles personnes singulières venant d’un peu partout, toutes réunies autour du même désir qui nous brûle le ventre, j’ai hâte !

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