Portrait

Simon
Jeannin

Je suis rentré au Cours Florent en 2010 et me suis pris au « jeu ». J’ai même eu la chance de participer au Prix Olga Horstig lors de ma dernière année de formation.

Campus Paris
Année
professeur
  • Peux-tu nous parler de ton parcours professionnel avant d’enseigner au Cours Florent Jeunesse ?

J’ai toujours fait du théâtre mais j'ai d'abord fait des études qui n’avaient rien à voir avec le jeu d'acteur tout en menant parallèlement des projets théâtraux. Ceux-ci m’ont amené à travailler avec des élèves du Cours Florent qui m’ont donné envie de tenter l’aventure. Je suis rentré au Cours Florent en 2010 et me suis pris au « jeu ». J’ai même eu la chance de participer au Prix Olga Horstig lors de ma dernière année de formation.

Après avoir terminé mon cursus de formation de l’acteur, j’ai rejoint le corps des professeurs du Cours Florent Jeunesse. Ce que j’adore dans cet enseignement ciblé est le fait de retrouver l’esprit du jeu chez les jeunes individus, qu’ils aient 10 ou 17 ans.

Il y a des spécificités propres à l’enseignement que j’ai reçu en tant que préprofessionnel et à celui que reçoivent des enfants ou ados à titre de « loisir ». Pour les adolescents c’est avant tout une activité ludique, collective. Je fais en sorte de partir de ce qu’ils sont chacun en tant qu’entité, c’est pourquoi j’applique un axe de travail sur l’improvisation. J’en ai moi-même beaucoup pratiqué étant jeune et encore lorsque j’étais au Cours Florent. Je trouve ce travail sur l’improvisation très révélateur, le but étant justement de partir de soi, néanmoins les enfants et adolescents ont besoin d’être cadrés donc je leur donne des clés pour parvenir à s’exprimer.

  • Peux-tu nous parler de la pièce de théâtre dans laquelle tu joues actuellement ?

Je joue depuis plusieurs mois dans une comédie de Boulevard intitulée « Nelson », aux côtés notamment de Chantal Ladesou. Une pièce très drôle qui traite toutefois un sujet social très contemporain, celui de l’alimentation. Nous approchons la 200ème représentation à Paris et nous entamons une tournée en province dès l’an prochain. C’est définitivement très formateur de jouer à ce rythme effréné d’autant plus que c’est un théâtre différent de celui que nous enseignons au Cours Florent. 

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